
Productions JBH
Une œuvre de Réginald Rose
Un jury de 12 hommes doit décider du sort d’un jeune homme accusé d’homicide. La preuve et les faits réunis contre lui sont accablants. Le verdict semble évident. Pourtant, un membre du jury n’est pas convaincu et a le courage et la détermination de prendre position, d’aller au-delà des apparences et des préjugés. La pièce 12 hommes en colère est remplie d’humanité, profondément actuelle, où les travers de la bêtise humaine sont omniprésents. Un suspense enlevant qui vous tiendra en haleine du début à la fin.
La seule et unique Ligue Nationale d’Improvisation parcourt les routes à la rencontre de son public !
Les fans retrouveront tout ce qu’ils aiment des fameux matchs d’impro tels que définis depuis bientôt 50 ans ans par la LNI : dans un décorum inspiré du hockey, des virtuoses du théâtre spontané se font une mission de vous surprendre, vous amuser, vous émouvoir… bref, de jouer des multiples cordes inhérentes à l’art de l’improvisation théâtrale. Quelle équipe en sortira victorieuse ? Au public de voter ! Chose certaine : attendez-vous à l’inattendu…
Puisant sa source au cœur même du film The Shining de Stanley Kubrick, le roman de Simon Roy est un puissant récit d’autofiction.
À travers une histoire aussi étonnante que bouleversante, l’auteur nous rappelle qu’une œuvre littéraire, cinématographique ou théâtrale a le pouvoir de changer le cours de notre existence, allant parfois même jusqu’à permettre de faire la lumière sur des traumas profondément enfouis dans notre inconscient.
Mélangeant littérature, théâtre, cinéma, photographie et mouvement, Ma vie rouge Kubrick est un spectacle pluridisciplinaire qui émeut, éblouit et transporte.
Un objet théâtral fascinant.
Catherine Perrin, Radio-Canada, 2 novembre 2024
Ce brillant mais inclassable « roman » du regretté Simon Roy, récompensé en 2015 par le Prix des libraires du Québec, emprunte à l’analyse cinématographique et à l’autobiographie bouleversante, tirant des parallèles éclairants entre l’un et l’autre.
Marie Labrecque, Le Devoir, 1er novembre 2024